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U18 CLERMONT FOOT 63 (+ Coupe Gambardella)


hermann
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https://www.clermontfoot.com/cdm-u17-bouchenna-tout-le-monde-reve-de-ce-titre/
 

Qualifié pour la finale de la Coupe du Monde U17 qui se déroule en Indonésie, Mohamed-Amine Bouchenna vit un nouveau rêve éveillé avec l’équipe de France. Samedi à 13 heures en direct sur La Chaîne l’Equipe, les hommes de Jean-Luc Vannuchi vont retrouver une équipe d’Allemagne contre qui ils s’étaient inclinés en finale de l’Euro il y a 6 mois à peine (0-0, 5 TAB 4). Avec la ferme intention d’aller chercher le titre. Entretien avec notre Clermontois à 48h de la finale.

Quel regard portes tu sur votre parcours jusqu’ici ?
« Je suis très fier de l’équipe et je suis très heureux qu’on soit en finale. Ce n’est pas rien de vivre ça. On n’a pas eu un parcours facile contre des équipes qu’on avait jamais affrontées avant. On a dû un peu changer notre jeu notamment contre les équipes africaines parce que ce sont des équipes que l’on avait jamais croisées avant cette Coupe du Monde. »

Et d’un point de vue plus personnel ?
« Je suis satisfait des minutes jouées (80 en poule face aux USA et 45 en quart de finale face à l’Ouzbékistan) et de ce que j’ai pu apporter à l’équipe. Contre les USA j’ai joué côté gauche et contre l’Ouzbékistan côté droit. Des postes où j’ai pas trop l’habitude de jouer, mais j’ai fait une passe décisive contre les USA et je suis très heureux d’avoir pu être décisif dans une Coupe du Monde. »

Comment tu expliques que cette équipe de France U17 se retrouve encore en finale ?
« Je crois que comme moi, tout le monde prend beaucoup de plaisir dans ce groupe où il y a énormément de qualité. Et puis il y a une certaine continuité. Entre l’Euro et la Coupe du Monde, il ne doit y avoir que 2 ou 3 joueurs qui ont changé. On s’entend tous super bien, l’ambiance est vraiment bonne. Je pense que c’est ça qui explique nos bons résultats. Si on est encore en finale, ce n’est pas un hasard. On a un groupe soudé et solidaire. C’est ça notre force. »

Tu te rends compte que c’est une nouvelle expérience unique que tu vis ?
« C’est vraiment exceptionnel de vivre une compétition internationale. C’est incroyable de pouvoir représenter son pays. Ce n’est pas donné à tout le monde. C’était un véritable objectif pour moi d’être à cette Coupe du Monde U17 avec les Bleus. J’ai travaillé dur pour être là. Je donne tout pour être le plus performant possible quand le coach me donne sa confiance. »

Malgré les 6 heures de décalage horaire, tu arrives à suivre les matchs du CF63 ?
« C’est pas toujours simple (sourire). Le match à Montpellier, par exemple, c’était à 1 heure du matin. Mais, je regarde tous les résumés, les conférences de presse pour voir ce qui se dit… C’est important de rester connecté au club. »

Tu as des contacts permanent avec le club ?
« Le coach m’a envoyé un message pour me féliciter après mon match contre les USA, par exemple. Yannick (Flavien) m’envoie aussi des messages régulièrement. La dernière fois il me disait que c’était exceptionnel de vivre ça à mon âge. C’est vrai que c’est une expérience qui marque à vie, qui marque une carrière. Si on gagne, ça va changer la suite de nos carrières. On serait le meilleur groupe du monde avec beaucoup de très grandes individualités. »

Ton quotidien avec le groupe pro cette saison t’as permis de progresser ?
« Ça m’a permis de passer un cap c’est sûr. Surtout au niveau de la lucidité devant le but. On fait beaucoup de spécifique. Cela me permet d’être plus performant quand je joue avec les seniors parce que c’est très différent des jeunes dans la dimension physique, dans les impacts. Il y a encore du boulot et je sais qu’il me reste une grande marge de progression, mais je sens que ça m’a beaucoup apporté. »

Comment tu appréhendes cette finale qui arrive ?
« On se prépare comme pour tous les autres matchs notamment sur tout ce qui est l’entraînement invisible comme la nutrition et le sommeil. C’est aussi pour ça qu’on est en finale aujourd’hui. Ça va être un bon match, j’en suis sûr. C’était déjà un gros match en finale de l’Euro. La France et l’Allemagne sont deux équipes qui se valent. J’estime qu’on a plus de chances de gagner cette fois-ci avec la confiance engrangée pendant toute cette Coupe du Monde. Tout le monde rêve de ce titre et on va tout faire pour aller le chercher. On verra les choix du coach, mais je me tiens prêt pour être le plus performant possible sur le terrain. »

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Coupe du monde – 17 ans finale

Une exposition en mondovision
 

FLAVIEN TRÉSARRIEU 

Loin de leur famille depuis un mois, loin aussi de l’engouement ou des sollicitations populaires qui accompagnent un tel par cours mondial, en France ou ailleurs, les Bleuets de la généra tion 2006 y sont arrivés. Quatre mois après avoir atteint la finale de l’Euro, perdue lors de la cruelle séance des tirs au but contre l’Al lemagne (0-0, 4-5 aux t.a.b., le 2 juin), qui rappelle combien la France a du mal dans cet exercice, tous âges confondus, les voici en core au bout du parcours, face au même adversaire. C’est déjà une réussite en soi, réalisée aux anti podes de l’Hexagone, en Indoné sie, dans un pays à l’humidité étouffante.

Eux se moquent d’être en fi nale, ils veulent la gagner bien sûr, et ils auront bien le temps, plus tard, de mesurer la portée de leur performance. Mais, alors que les joueurs de Jean-Luc Vannuchi fe ront ce soir (cet après-midi en France) leur dernier mouvement routinier hôtel-car-stade qui leur rappelle peut-être le quotidien d’un métro-boulot-dodo, ils ne se rendent pas non plus compte que cet événement peut déjà changer leur carrière. À tout jamais.

Avant eux, seule la génération 1984 française a réussi l’exploit de remporter la Coupe du monde des moins de 17 ans. Celle de l’in oubliable duo Anthony Le Tallec Florent Sinama-Pongolle. Celle aussi d’une génération qui est restée soudée depuis. Au point de fêter en 2021 les vingt ans de son sacre à Trinidad-et-Tobago, à l’oc casion d’un match de gala contre des anciens de l’AS Saint-Étienne. « On était loin de tout ce qu’on con naissait et notre mois passé en semble, au-delà des résultats, nous avait unis en dehors du terrain, se souvient Jérémy Berthod. Il y avait ces jeux de cartes, ces rigolades… C’était mémorable. »

Et sur le terrain, le succès de 2001 face au Nigeria (3-0) avait-il propulsé leur carrière ? « Disons que pour nous, c’était une autre époque, reprend l’ancien latéral gauche. J’évoluais en moins de17 ans à Lyon, il n’y avait pas de mélange ni de surclassement donc je suis revenu dans la même équipe à mon retour pour continuer une progression linéaire. Mais les re gards avaient changé au club. »

Pour Florent Sinama-Pon golle, ils avaient aussi changé à l’extérieur, aux yeux d’un public havrais tombé en amour. « Les supporters me parlaient comme si j’avais le même statut qu’Alain Ca veglia ou Thomas Deniaud, s’en amuse encore l’international A, aujourd’hui consultant Canal+, qui avait terminé meilleur buteur et meilleur joueur en 2001. Ils ne faisaient pas la différence alors que j’étais un gamin de 17 ans. »

“Beaucoup de joueurs de cette catégorie d’âge disparaissent”

LE RECRUTEUR D’UN GRAND CLUB EUROPÉEN

Avant même de jouer la Coupe du monde, à l’époque, l’attaquant ré unionnais s’était déjà engagé avec Liverpool. « En fait, c’est surtout l’Euro qui avait accéléré ma signa ture, explique-t-il. On avait perdu en finale contre l’Espagne (0-1). La compétition était en Angleterre et ça nous avait appris à jouer dans des grands stades. Je me souviens qu’on avait affronté l’Angleterre à St James’Park (Newcastle) dans une ambiance hostile et folle. C’est vraiment un apprentissage. » Jean Luc Vannuchi partage le même point de vue : « À l’Euro, les garçons s’étaient métamorphosés et ça avait eu un effet booster incroyable. En rentrant dans leur club, la plu part avaient rejoint les effectifs pro fessionnels. La Coupe du monde est dans cette continuité. Les clubs ont joué le jeu en les lâchant pour cette compétition. C’est aussi nor mal qu’ils en récoltent les fruits. »

Une analyse qui se vérifie spor tivement mais aussi financière ment. « Cette exposition fait forcé ment monter les prix mais ça peut aussi être une période difficile pour les ”petits” clubs car certains joueurs, quand ils ne sont pas déjà pros, arrivent à la fin de leur contrat aspirant et ça attire les plus gros qui n’ont qu’à payer les indemnités de formation », explique le recruteur d’un grand club européen. Mais attention, disputer ou remporter une finale à ce niveau ne signifie pas automatiquement le lance ment d’une carrière profession nelle. « Beaucoup de joueurs de cette catégorie d’âge disparaissent, reprend le recruteur. Et puis pour les clubs, les jeunes sont aussi mis en concurrence avec ceux des gé nérations d’avant et d’après. Elle est donc plus dense. » En attendant, la Coupe du monde aura une autre saveur pour ces jeunes footbal leurs. Un événement rare, qui perdra sûrement de sa valeur plus tard, quand la FIFA l’organi sera tous les ans, comme elle l’a annoncé cette semaine.

Avec Bouabré d’entrée ?

Avant d’aborder le septième match en l’espace de vingt jours, le staff médical des Bleuets doit composer avec quelques pépins mineurs mais ils ont été effacés par la bonne nouvelle du jour : Saïmon Bouabré devrait être disponible pour cette finale. Victime d’une entorse de stade 1 du genou gauche face à l’Ouzbékistan (1-0), en quarts de finale, le Monégasque postule à une place dans le onze. « C’est un joueur capable de faire des différences individuelles, il éclaire le jeu et crée du danger », résume Jean-Luc Vannuchi, qui attendra le dernier moment, aujourd’hui, pour savoir s’il alignera son milieu de terrain d’entrée. Ce serait plutôt une bonne nouvelle puisque Bouabré, déjà pro à l’ASM et qui est l’un des meilleurs joueurs de sa génération, aurait alors l’occasion de retrouver une équipe d’Allemagne face à laquelle il avait raté son tir au but en finale de l’Euro (0-0, 4-5 aux t.a.b., le 2 juin). « Il voulait faire cette compétition et retrouver cette équipe, affirme Samy, son beau-frère. Ce n’est pas une revanche, c’est un peu une deuxième chance. On ne voit ça que dans les films. » Pour le reste, le sélectionneur ne devrait faire que deux changements par rapport à l’équipe alignée face au Mali (2-1), en demi-finales.

Articles parus dans le journal L’Equipe de ce jour

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Le 01/12/2023 à 14:07, ALJE a dit :

U18 R1 :
Aurillac FC – Clermont Foot 63
9ème journée de championnat
Dimanche 3 décembre 2023, 13h
Stade de Baradel à Aurillac 

Aurillac 0 Clermont Foot 1

cartons rouges Aurillac à la 83’, au Clermont Foot Pezaire à la 70’

TITULAIRES CLERMONT FOOT 63 22

1MATHIEU F 

2ENZO DELECAMBRE 

3ILKER ISIK

4ADOLPHE LULENDO MAWETE carton jaune

5ALBAN PEZAIRE (groupe U19) carton rouge

6FARES TOUMI (2007)

7MOHAMED JABRI

8ISAAC CAMARA (2007) carton jaune

9SEYDOUBA SOUMAH (2007)

10YAKOUB BOUZENAG

11GASPARD JOLLAND (2007)

REMPLAÇANTS CLERMONT FOOT 63 22

12ALLAN ANGLADE

13EXAUCE LULENDO

14BILEL BOUSSAROU 

Clermont c’est 3 victoires 2 nuls et 4 défaites 

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