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hermann

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Messages posté(e)s par hermann

  1. 19 minutes ago, Foot63 said:

    Il y a des elements les qui font des apparitions en u17 apres les u16 sont en post formation et pas en formation 

    Ils peuvent se le permettre parce qu'apparemment la poule des U16 à l'air "facile" et si c'est trop facile ce n'est peut-être pas très motivant pour les meilleurs U16. Coulibaly, Astic, Chastang et Cohade qui font des apparitions en U17 c'est des 2005 donc à la base des U16 (?)

    En U18 tu retrouves aussi des 2005 comme Mazeyrat, Pages, Le Boulaire, Hafiane, Ollier, Cohade, Ihaddadene, Amghar, Chastang, Jourson + les gardiens Lacote et Ramousse.

  2. 2 hours ago, Malochet said:

    J en suis quasi sûr. Le virus a tronqué la fin de saison dernière d où la seule descente (Roanne). Un vrai coup de bol car les u15 étaient avant dernier et décrochés au classement. La ligue a permis la montée de deux clubs d où les 11 équipes de la poule. Retour à la normale je pense l année prochaine avec une poule de 10 avec deux montées et donc trois descentes. Mais cela peut encore évoluer. 

    OK je viens de regarder le classement de Roanne la saison dernière en U14 qui étaient 6ème quand la saison c'est terminée et qui sont descendus, c'est un peu raide. C'est les U15 qui priment et s'ils descendent ils entrainent les U14 avec eux :(

    Quand dans une poule de 11 il y en a trois qui descendent ça va être chaud et tu n'as pas le droit aux contre-performances. Pour bien faire les U15 devraient laisser derrière eux au classement Le Puy, Chambéry et l'AS Montferrand  :( Pour résumer bon résultat impératif quasiment à Chambéry dimanche ainsi qu'à l'ASM le 15 Novembre.

    Pour le moment par rapport à ces 3 équipes le goal average du Clermont Foot est meilleur.  En fait il ne faudra lâcher aucun match pour ne pas prendre de "cartons".

  3. Covid-19: des clubs en sursis

    Frappées par la pandémie de coronavirus, les fédérations olympiques font face à une chute des licenciés aux graves conséquences économiques pour elles et leurs clubs.

    15 octobre 2020 à 00h05
     
     

    Depuis des semaines, les présidents de fédération ont les yeux rivés sur la courbe des licences comme les patrons des chaînes télé sur celle des audiences. Il faut dire que ce sont elles qui alimentent la trésorerie des instances sportives. Et la situation est tout sauf encourageante. Selon une étude YouGov, 47,3 % des Français ont repris une licence cette année et 41,2 % ont inscrit leur enfant dans un club. Mais beaucoup hésitent encore à le faire, respectivement 36 % pour eux et 24,4 % pour leur enfant, selon le même institut. De quoi frémir. Les chiffres communiqués pas les fédés ne correspondent pas avec ces données, mais la baisse est certaine. Elle est estimée globalement à un peu plus de 25 % par le Comité national olympique et sportif français (CNOSF).

     

    « On a pris un coup de plus sur la cafetière avec la fermeture des salles dans les zones écarlates. »

    Florent Chayet, président de la Fédération française de badminton

     
     
     


    Au volley-ball, le compteur affichait, au 13 octobre, -7 084 licenciés, soit -11 % par rapport à l'année précédente. Il était pourtant reparti à la hausse mais l'annonce du ministre de la Santé Olivier Véran, le 23 septembre, de fermer les salles de sport a stoppé net un semblant d'embellie dans les sports indoor.

    « On a pris un coup de plus sur la cafetière avec la fermeture des salles dans les zones écarlates », soupire ainsi Florent Chayet, président de la Fédération française de badminton qui, pour l'instant, n'a que la moitié de ses licenciés et s'attend à une baisse de l'ordre de 20 à 30 %, surtout du côté de la pratique loisirs. Parmi les plus touchés pointent les sports de combat.  « Sur les licences, on est entre 70 et 75 % du total de l'an dernier », confirme Jean-Luc Rougé, président de la Fédération française de judo qui souligne les coûts supplémentaires liés au protocole sanitaire qui font que nombre de salles n'ont pas rouvert dans les petites communes. L'athlétisme n'est pas non plus épargné avec une baisse de fréquentation de -23 %. Le handball limite la casse à -15 %.

    Le handisport et le sport adapté à genoux

     

    La situation est encore plus délicate du côté du handisport et du sport adapté : entre un tiers et la moitié des licenciés en moins sur un total de 100 000 pour les deux Fédérations. « Ça ne redémarre pas car les pratiquants ont peur et beaucoup de clubs n'ont pas ouvert... », confirme Élie Patrigeon, directeur général du Comité paralympique français (CPSF).

    « Il y a fort à parier que le nombre de licences de l'année dernière ne sera pas atteint et cela va entraîner de gros soucis pour les clubs et les fédérations », prédit Christophe Lepetit, directeur des études économiques du Centre de droit et d'économie du sport de Limoges (CDES). La menace pèse en particulier sur celles qui sont le plus dépendantes économiquement des licences. « Budgétairement, si on perd 25 % de licenciés, c'est un gros manque à gagner : 2,25 M€ sur un budget de 24 M€ », souligne André Giraud, président de la Fédération française d'athlétisme.

    « Pour l'instant, la perte estimée se situe entre 200 000 € et 250 000 € », précise Caroline Thomas, responsable de la communication de la FFVB dont le budget est de 8 M€. Du côté du golf, le manque à gagner est estimé à 600 000 €, sur un budget de 22 M€. « On devrait finir à -3 % côté licences, explique Olivier Denis-Massé, directeur délégué de la FFG. On s'en sort bien par rapport à d'autres sports parce que le golf se pratique en plein air, seul, avec distanciation. »

    « On peut chiffrer le manque à gagner en centaines de millions, si ce n'est en milliards d'euros. »

    Denis Masseglia, président du Comité national olympique et sportif français

     
     
     


    Pour limiter la casse, les fédérations cherchent à s'adapter. La Fédération de handball a mis au point plusieurs modèles de calendriers pour que, quelle que soit l'évolution de la pandémie, la saison puisse aller à son terme. La FFG a mis en place de nombreuses campagnes pour inciter les golfeurs à revenir sur les greens et motiver les clubs. L'athlétisme a prorogé la date d'expiration des licences jusqu'à novembre, tout comme le badminton, et espère un rebond après cette date. Toutes bénéficient des initiatives du Comité national olympique et sportif français pour inciter les amateurs à revenir dans leur club : « mon club près de chez moi » ou encore « soutiens ton club ».

    900 000 €
    La somme récoltée via l'opération « Soutiens ton club », lancée en mai dernier par la Fondation du sport français, les comités olympique et paralympique CNOSF et le ministère en charge des Sports.

    « Les outils du CNOSF ont le mérite d'exister et de redistribuer de l'argent à des clubs en difficulté », salue Élie Patrigeon. Plusieurs dirigeants misent aussi sur le principe du coupon sport, étudié au sein de l'Agence nationale du sport pour soutenir l'achat d'une licence. Mais, à supposer que le principe soit acté et le montant défini (50, 100 € ou plus ?) dans les prochaines semaines, il n'entrera pas en vigueur avant le début de l'année 2021.

    Quant au coût de la crise, il est dur à évaluer. « On peut chiffrer le manque à gagner en centaines de millions, si ce n'est en milliards d'euros »,annonce d'ores et déjà Denis Masseglia, président du CNOSF. « Avec 25 % de licenciés en moins, des fédérations et des clubs vont être en mode survie avec énormément de difficultés à maintenir leurs actions, leurs emplois, y compris pour ce qui concerne le haut niveau... », poursuit-il.

    Le patron du mouvement sportif milite, notamment via plusieurs tribunes publiées dans la presse et signées avec les acteurs du sport, « pour retrouver une activité, peut-être pas tout à fait normale, mais la plus normale possible ». Quitte à renforcer les protocoles avec notamment l'inscription des noms et numéros de téléphone comme au restaurant.

    « Si la situation se tend, est-ce que le plan de relance sport (122 M€ sur deux ans) sera suffisant ? Que se passera-t-il si une fédération est en cessation de paiement ? »

    Christophe Lepetit, directeur des études économiques du Centre de droit et d'économie du sport de Limoges

     
     
     

    « Il faudrait que les fédérations soient associés à la réflexion sur le plan du relance du gouvernement et prennent par exemple la moyenne de licences sur les cinq dernières saisons pour calculer l'aide nécessaire aux clubs, suggère Christophe Lepetit. Si la situation se tend, est-ce que le plan de relance sport (122 M€ sur deux ans) sera suffisant ? Que se passera-t-il si une fédération est en cessation de paiement ? », s'interroge tout haut l'économiste.

    La question n'est pour l'instant que théorique. Mais qu'on se la pose souligne la gravité de la situation.

  4. L’actionnaire chinois à la manœuvre ?

    JEAN LE BAIL Josep Maria Benet, l’un des deux présidents fondateurs de Mediapro, au côté de Tony Ma, le PDG d’Orient Hontai Capital.  Expansion
    Orient Hontai Capital et sa maison mère ont pu peser pour que l’opérateur engage le bras de fer avec la Ligue sur le montant des droits.

    « Pas de casserole. » À ce stade, les as de laforensic investigation («enquête médico-légale »), ces spécialistes du monde de la finance qui dissèquent pour les cabinets de conseil internationaux la réputation des investisseurs, n’ont rien trouvé de suspect sous leur scalpel chez l’actionnaire chinois majoritaire de Mediapro ni chez sa holding, dont le cours de Bourse est stable depuis des mois à Shanghai et Hongkong.

    Alors que le détenteur sino-espagnol des droits de diffusion de la L1 et de la L2 plonge les clubs dans l’angoisse en ne payant pas sa traite de 172 M€ due au 5 octobre et en pressant la Ligue de renégocier à la baisse le montant de son contrat de 814 M€ par an sur la période 2020-2024, la question se pose de savoir si cette alerte rouge pour le foot français pourrait être le fruit de difficultés financières du fonds d’investissement Orient Hontai Capital, son actionnaire à 53,5 % depuis février 2018, voire de sa maison mère, Orient Securities, autre société chinoise dont elle est l’une des quelque 50 filiales – dont la majorité sont des sociétés d’investissement ou de gestion d’actifs.

    Dans le Parisien, hier, Jean-Michel Aulas, le président de l’OL, semblait écarter cette hypothèse en décrivant Orient Securities, dont l’un des actionnaires de référence est la municipalité de Shanghai, comme « un fonds d’État très puissant, important et sérieux». En 2019, Orient Securities réalisait un chiffre d’affaires de 3 milliards d’euros et un peu moins de 400 M€ de bénéfices. La société est valorisée actuellement à 9 milliards d’euros sur les marchés boursiers.

    Un très probable gros déficit d’exploitation de Téléfoot

    Quant à Orient Hontai Capital, l’actionnaire direct de Mediapro, basé lui à Pékin et présent en Chine et en dehors dans les secteurs des médias, de la technologie, des jeux vidéo et de la santé, un analyste parisien explique à L’Équipe que « rien ne distingue cette société des dizaines d’autres sociétés d’investissement chinoises appartenant à l’État ».

    Son patron, Tony Ma, avait salué la prise de contrôle de Mediapro – pour près de 1 milliard d’euros – comme « une étape cruciale dans [l']expansion [du groupe] en Europe dans le cadre de la stratégie de la nouvelle route de la soie », l’une des priorités de la diplomatie chinoise depuis 2013.

    Le dernier investissement d’Orient Hontai Capital date du mois dernier, une prise de participation dans une biotech chinoise, XWPharma, pour 34 M€, et son dernier échec connu remonte à 2016.

    À cette époque, le fonds avait tenté de prendre le contrôle de la société californienne de marketing mobile AppLovin pour 1,2 Md€, mais le Comité américain sur les investissements étrangers avait bloqué l’opération en raison de craintes relatives à la sécurité des données. Un demi-échec seulement en définitive puisque l’investisseur chinois avait pu acquérir 10 % d’AppLovin pour 120 M€ tout en investissant dans la dette de l’entreprise.

    Si l’état financier des investisseurs chinois ne paraît pas directement en cause dans la douche froide qui s’abat sur le Championnat de France, il n’est pas exclu que la main de Pékin ou de Shanghai ait quand même pu tenir le pommeau. Un bon connaisseur des investissements asiatiques en Europe, encore récemment en poste à Shanghai, estime « plausible » que l’actionnaire de référence « tente de faire baisser la facture » d’un très probable gros déficit d’exploitation de la chaîne Téléfoot dont le point d’équilibre (3,5 millions d’abonnés) paraît hors d’atteinte en l’état.

    « Les hommes d’affaires chinois ont peu de respect pour la naïveté et un grand sens du rapport de force », ajoute cet expert qui pointe « l’hyper dépendance des clubs au contrat » et « ses protections potentiellement insuffisantes pour la Ligue ». Jean-Michel Aulas le dit autrement : « N’avoir ni de garantie bancaire ni de deposit (caution) devient une insigne faiblesse voire un drame pour le football français. »

  5. Médiation, mode d’emploi

    YANN SOUDÉ
    La LFP refuse pour l’instant de négocier avec Mediapro, qui a sollicité une médiation auprès du tribunal de commerce. Si cette voie devait être suivie, voici ce qu’elle prévoit.

    À l’heure où les clubs français s’inquiètent d’un effondrement de leur modèle économique, Mediapro ne désespère pas de renégocier le contrat de diffusion qui le lie à la LFP. Comme révélé hier par le Canard Enchaîné, le groupe audiovisuel, principal détenteur des droits de la L1 et de la L2, a sollicité fin septembre un processus de médiation auprès du président du tribunal de commerce de Nanterre afin de rapprocher sa position de celle de la Ligue.

    Alternative au procès judiciaire, la médiation doit permettre aux deux parties « de clarifier leurs différends, de trouver des solutions négociées et de pérenniser leur relation, selon Maud Neukirch de Maistre, dont le cabinet Avenir Médiation a signé une convention des modes amiables de règlement des différends avec les tribunaux de Nanterre. C’est un processus rapide, confidentiel et économique.

    Avec la médiation, on est responsables de ses solutions. Il n’y a pas de gagnant ni de perdant. Chacun doit être prêt à faire un pas vers l’autre. »

    Le versement suspendu ?

    D’après le Canard enchaîné, Vincent Labrune, le président de la LFP, a signé « un papier dans lequel il accepte la procédure dite de ’’médiation ad hoc’’ ». Mais selon nos informations, la LFP n’a pas accepté à ce stade d’engager des négociations avec Mediapro et reste sur une ligne de fermeté vis-à-vis de son débiteur.

    Dans le cas où les deux parties s’engageraient dans cette voie, il faudrait d’abord qu’elles rencontrent, chacune de leur côté dans un premier temps, « un tiers neutre, impartial et indépendant, soumis à la confidentialité des échanges », selon Maud Neukirch de Maistre. Ce médiateur réunirait ensuite ceux que l’on appelle les « médiés » dans le but de «trouver des intérêts communs » et ainsi de sortir du conflit qui les oppose, dans le délai légal de trois mois – renouvelable pour la même durée avec l’accord des deux parties. « Dans 50 % des cas, la médiation dure dix heures : deux entretiens individuels, une séance plénière de trois heures puis une seconde pour finaliser l’accord, précise la fondatrice du cabinet Avenir Médiation. C’est une durée maximum : si au bout d’un mois, les deux parties ont trouvé un accord ou qu’elles ne veulent plus de cette médiation, elles peuvent arrêter le processus. »

    À court terme, cette solution permettrait à Mediapro de gagner du temps, car « la médiation, remarque Maud Neukirch de Maistre, suspend tous les contentieux et toutes les demandes le temps d’être traitée ». Et donc le versement de 172 M€ attendu par la LFP le 5 octobre (et par les clubs le 17), dont le groupe sino-espagnol ne s’est toujours pas acquitté. Voire le prochain, de 150 M€, attendu le 5 décembre.

     

  6. 1 hour ago, hermann said:

    Quand tu vois ça ça me parait compliqué...

    En plus quand tu sais que la majorité des clusters prennent pour origines les entreprises et le milieu scolaire et universitaire...

    Capture.PNG

    Je ne sais pas si tout le monde peut voir la vidéo donc je mets les photos 

    Screenshot_20201015_005938.jpg

    Screenshot_20201015_005838.jpg

  7. 2 hours ago, Malochet said:

    Victoire 2 à 1. Clermont semble supérieur. La 2eme saison d un promu en ligue 2 est souvent assez délicate. Je vois Chambly lutter pour le maintien cette année. 

    Ou ils n'ont pas de chance c'est avec leur grosse recrue Nikola Petkovic qui se blesse avant le début du championnat

    https://www.leparisien.fr/sports/oise/ligue-2-les-dessous-de-l-arrivee-du-meilleur-buteur-de-d-1-serbe-a-chambly-07-07-2020-8348703.php

    https://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Ligue-2-fin-de-saison-confirmee-pour-nikola-petkovic-chambly/1159983

  8. 2 hours ago, Malochet said:

    Nous pouvons voir ce jeune Efekele dans un documentaire intéressant ("une chance sur un million") alors qu il est à l inf clairfontaine (avant de signer à Monaco). 

    Merci pour l'info ;)

    https://www.leparisien.fr/sports/football/documentaire-une-chance-sur-un-million-immersion-dans-la-pepiniere-du-foot-francais-18-06-2019-8095662.php

    https://documentaire.io/sport/reportage-une-chance-sur-un-million-centre-formation-football/

  9. 2 hours ago, Malochet said:

    Il y a une catégorie de joueurs qui sont en U16, en U18 ou en R1 (seniors 3) dont Je ne comprends pas trop le statut. J ai l impression qu ils ont une licence amateur avec aucune perspective d accès au centre. S entraînent ils à part ? Je trouve cela un peu curieux. Quel est l issue et l intérêt pour ces joueurs ? Porter le maillot CF63 ? Si ces jeunes sont au lycée ou réalisent des études sup, ils ne doivent même pas bebeficier du moindre aménagement horaire. 

    Je te rejoins là-dessus car j'ai du mal à suivre et comprendre toutes les subtilités.

    Concernant les U18 par exemple il y a des joueurs qui ont des contrats d'aspirant comme Ilan Ihaddadène (contrat de 3 ans) qui lui ne joue qu'en U18 pour le moment alors que d'autres font U17/U18.

    Tu as les10 joueurs formés au club qui ont intégrés le centre de formation mais je ne sais pas avec quel statut.

    https://www.clermontfoot.com/10-joueurs-du-club-integrent-le-centre-de-formation/

    Et puis tu en as d'autres qui jouent en U18 comme par exemple Killian Faucher, Matthieu Blettery, Riyad Khalfallah, Adem Benyahia ils sont juste là pour faire le nombre ?

  10. 1 hour ago, Malochet said:

    Match important pour ces jeunes afin de ne pas être décrochés (déjà...) au classement, en particulier pour les U15 qui jouent le maintien. Les trois derniers descendent je crois. La poule est jumelée avec celle des u14 donc ce sont les u15 qui déterminent le sort de ces deux équipes. 

    Tu es sur pour les 3 descentes en U15 cette saison?. La saison dernière ils étaient 10 dans la poule du Clermont Foot  et  il n'y a que Roannais Foot 42 qui était descendu. Cette saison ils sont 11 dans la poule car Andrézieux-Bouthéon et Grenoble Foot 38 sont montés. A moins qu'ils ne veuillent refaire une poule de 10 en maintenant 2 montées.

  11. 1 hour ago, alexandre said:

    punaise oui pour le foot mais aussi tous les autres sports qui ce jouent tout le temps en soirée.

    encore un beau bordel , lol.

    pourvue que sur clermont ca s'estompe un peu la pandémie (plan blanc au chu déclanché ce jour );grrrrrrr

    Quand tu vois ça ça me parait compliqué...

    En plus quand tu sais que la majorité des clusters prennent pour origines les entreprises et le milieu scolaire et universitaire...

    Capture.PNG

  12. 18 minutes ago, elliot said:

    Impossible pour les gens sauf à habiter à côté du stade, il faudrait que les gens partent à 20h30 pour un match qui débute à 19h...

    Encore un casse tête à venir, ici on s'evite ça, pour le moment mais on va y venir...

    En attendant j'aimerais bien savoir comment la distanciation physique est respectée dans les petites loges au Montpied...

  13. On va savoir rapidement car samedi à 19h00 il y a Paris FC/Pau.

    Mardi en ligue des champions à 21h00 tu as Paris SG/Manchester United donc ça sera huis clos. D’ailleurs je serais étonné qu’on ne voit pas, malgré le couvre-feu, de supporters parisiens devant le Parc des Princes.

  14. Conflit avec Mediapro au sujet des droits télé : la LFP contracte un premier emprunt de 120 millions d'euros

    Pour pallier la défaillance de Mediapro, la Ligue a contracté un prêt qui doit permettre aux clubs de faire face. Elle pourrait en souscrire un second.

    Etienne Moatti et Arnaud Hermantmis à jour le 14 octobre 2020 à 22h37
     
     

    Les derniers détails de cette opération de sauvetage ont été négociés hier après-midi. Tout pourra donc être validé, ce matin, par le conseil d'administration de la Ligue, réuni à 10 h 30 en visioconférence, avant un ultime passage devant l'assemblée générale, en tout début de semaine prochaine, comme le prévoient les statuts de l'instance. Pour combler le trou laissé par Mediapro, qui n'a pas honoré son échéance du 5 octobre (172 M€), comme l'a révélé L'Équipe, la LFP va contracter un emprunt auprès d'une banque étrangère.
    Selon nos informations, le montant sollicité auprès de cet établissement financier est de 120 M€. La Ligue va ajouter 50 M€ apportés sur ses fonds propres pour atteindre le montant dû et non réglé par Mediapro. Dès la fin de la semaine, 50 M€ seront redistribués aux clubs, qui devaient recevoir leur part des 172 M€ le 17 octobre (samedi). Le solde le sera, une fois l'emprunt validé par la CA et l'AG de la LFP, avant la fin du mois d'octobre. Ce qui permettra aux clubs d'honorer les salaires des joueurs.

    400 000
    Le nombre estimé d'abonnements à Téléfoot via les opérateurs télécom. Le chiffre total, c'est-à-dire en comptant les abonnements déclenchés directement via le site et l'application Téléfoot en OTT (Over The Top), n'est pas connu. Mais il ne dépasserait pas le million.

    Près de 500 M€ empruntés d'ici à décembre ?

    La LFP a également pris une option auprès de la banque prêteuse pour l'échéance du 5 décembre, dans l'hypothèse, assez probable, où Mediapro continuerait de ne pas régler ses dettes. Le montant de ce potentiel 2e emprunt est du même ordre que le premier.

    Dans ce dossier, pour trouver une solution et négocier avec les banques, Vincent Labrune, élu président de la Ligue le 10 septembre, s'est appuyé sur Loïc Féry, le président de Lorient, qui est son ami, et surtout un spécialiste reconnu de la finance. Mais aussi sur Sébastien Cazali, le directeur financier de la LFP, très impliqué depuis que la défaillance de Mediapro est connue. Féry avait déjà été mis à contribution, avec Olivier Sadran, à l'époque président de Toulouse, lorsque la Ligue avait dû, au printemps, contracter un 1er emprunt, en l'occurrence un PGE (prêt garanti par l'État) d'un montant de 224,5 M€.

    La LFP se trouve donc, en l'espace de quelques mois, avec un emprunt global de 344,5 M€, qui pourrait atteindre près de 500 M€ si les 150 M€ promis par Mediapro en décembre doivent également être assumés par l'instance. Sans avoir, pour l'instant, de réelles perspectives. La Ligue a choisi de ne pas négocier avec le groupe sino-espagnol, et attend que l'actionnaire chinois intervienne pour régler la facture. Ce qu'il se garde bien de faire. Au contraire, Mediapro s'est tourné vers le Tribunal de commerce de Nanterre pour engager une procédure de médiation et tenter d'obliger la Ligue à négocier, sans effectuer le moindre versement. Une action qui rencontre, pour l'heure, une fin de non-recevoir de la LFP.

  15. 6 minutes ago, elliot said:

    Couvre feu annoncé ce soir dans les métropoles de Paris, Grenoble, Lyon, Rouen, Lille, Toulouse, Monpellier notamment, donc plus personne dehors sauf autorisation entre 21h et 6 heures du matin jusqu'au 6 décembre. Donc les matchs de L1 et L2 à partir de 19h sont concernés finalement et font comment pour se jouer? À huis clos ou alors on avance les horaires?

    Les matchs à 21h c’est forcément huis clos. A 19h si ce n’est pas à huis clos il faudrait que les gens quittent le stade plus tôt suivant le temps qu’ils mettent pour rentrer chez eux, ça parait compliqué 

  16. 10ème journée National 1

    Orléans 1 Red Star 1

    Teixeira était titulaire. Il a été remplacé à la 64ème, il avait pris un avertissement juste avant.

    L'ancien clermontois, dans les équipes de jeunes, Alex Marchadier était titulaire à Orléans.

    L'Austria Lustenau ne rejoue que le vendredi 23/10 à 18h30. Ils se déplacent chez le dernier Austria Wien II

    Vendsyssel FF (9ème sur 12 après 6 journées 2V 4D) reçoit dimanche à 15h le FC Fredericia (6ème)

  17. 7 hours ago, Leaud said:

    Qu'est ce que tu veux que je dise sur le sujet? Le foot et ces instances commencent à me donner la nausée. Toutes ces histoires de fric feront couler ce sport. Je suis un ancien joueur amateur et je suis dégouté, de voir autant de magouilles et d'amateurisme dans les hautes instances et le monde pro du foot. Alors qu'en amateur, ce sport devient de plus en plus pauvre et a du mal à trouver des adhérents et des bénévoles. 

    La fin de saison dernière a été volée ce qui va certainement provoquer la chute financière de certains clubs de ligue 1 mais rassurons nous, le quatar avec son portefeuille sans limite sauvera le club phare de la capitale, alléluia. Quand aux autres, les contribuables devront peut être mettre la main à la poche!

    Concernant le PSG il s'en sortira aussi parce que le club doit espérer qu'une ligue fermée européenne verra le jour.

    Pour le reste de toute façon le contribuable va devoir mettre la main à la poche pour tout car économiquement je ne vois pas comment on peut s'en sortir. Cette année tu disais youpee soit tu ne payais pas de taxe d'habitation soit tu bénéficiais d'un dégrèvement progressif de celle-ci pour la plupart. Concernant l'impôt sur le revenu si tu étais anciennement dans la tranche à 14%, suivant ton revenu fiscal de référence celle-ci passait à 11%. Sauf que le pire est à venir…

    P.S. : Tu as du lire ce matin que le régime des retraites plongeait dans le rouge et que le système pourrait être déficitaire de 25,4 milliards d'euros cette année.

  18. 6 hours ago, elliot said:

    Merci, articles très instructifs et un peu inquiétants...

    C'est là qu'on se dit que les 9M de Grbic on à peut être bien fait de pas les claquer tout de suite dans un international MoldoPéruvioSénégalais à 5M vendu comme la pépite du championnat de D2 de Bolivie.. Si par exemple 17 clubs de L1 déposent le bilan ça veut dire qu'on peut monter alors aussi? 😇😝

    Disons que c'est des articles si tu n'es pas abonné à L'Equipe tu ne peux pas les lire... Sauf qu'ici ça n'intéresse quasiment personne et mis à part 4 forumeurs ou forumistes (je ne sais pas qu'elle est le bon nom à utiliser) personne n'a écrit dans le sujet qui a été crée le 30/08/2020.

    En fait on se rend compte qu'on n'arrive pas à faire participer les gens (c'est plus simple comme nom) et que la majorité (hors sujet pronostiques, Tell ou Bayo) n'a pas envie d'écrire pour échanger sur un sujet. Tu poses des questions la plupart du temps tu n'as pas de réponses, sauf si c'est ton jour de chance, ou si tu as une réponse c'est que tu as fait ton gros lourdingue en la posant plusieurs fois.

    Pour certains on peut être jaloux de la place qui est donnée à l'ASM en Auvergne mais force est de constater qu'à part se plaindre on ne fait rien pour que ça change et montrer qu'il y a des gens qui sont passionnés par le foot ici.

  19.  

    Droits télé : les clubs de Ligue 1 et de Ligue 2 en alerte maximale

    Déjà frappé par le Covid-19 et un mercato atone, le football professionnel ne se remettrait pas d'un accident sur les droits télévisés, après le non-paiement du 5 octobre par Mediapro.

    Étienne Moatti et Arnaud Hermant13 octobre 2020 à 21h55
     
     

    La France du football a peur. Le non-paiement par Mediapro de sa facture du 5 octobre (172 millions d'euros) et sa volonté de revoir à la baisse le montant de son contrat (814 millions d'euros par an entre 2020 et 2024) placent les clubs de L1 et de L2 au bord du gouffre. Pour parer au plus pressé, la LFP est sur le point de contracter un emprunt. Mais s'il se confirme que le pilier des droits télévisés se lézarde ou - pire - s'écroule, c'est tout le football professionnel français qui va se retrouver à terre.

    Car avant même la révélation, dans nos colonnes, de la défaillance de Mediapro, la situation était très inquiétante. Comme l'a révélé, cet été dans ce journal (le 30 juillet), Jean-Marc Mickeler, le président de la DNCG, les comptes sont déjà dans le rouge. « Avant le début de cette crise, les budgets des clubs de Ligue 1 et de Ligue 2 projetaient une perte de 116 millions d'euros pour la saison 2019-2020 (-103 millions pour la L1 et - 13 millions pour la L2), expliquait-il. Les comptes estimés qui nous ont été présentés lors des auditions de ce mois de juillet font finalement apparaître une perte de 289 millions d'euros [...] La Ligue 1 est naturellement la plus affectée avec une perte estimée à 291 millions d'euros alors que la Ligue 2 devrait afficher un léger résultat bénéficiaire de l'ordre de 2 millions d'euros. »

    Les recettes nées des transferts loin des 812 millions espérés

    Pour cette saison, les perspectives étaient de 250 millions d'euros de pertes, mais en prenant en compte des recettes de transferts à hauteur de 812 millions, alors que seulement 376 millions de ventes ont été finalement réalisées, comme le craignait le patron de la DNCG. « La capacité de vendre des joueurs et de générer ces 812 millions d'euros reste à démontrer, redoutait-il. Ce serait le deuxième mercato le plus élevé de l'histoire du football français après celui d'il y a deux ans. La capacité de réaliser un pareil mercato dans un environnement post-Covid reste largement sujette à caution. » Jean-Marc Mickeler a malheureusement eu raison.

    À ces pertes, il faut ajouter le manque à gagner provoqué par la pandémie de Covid-19 sur les recettes « jour de match ». Elles ont été évaluées par la LFP, qui a pris en compte la L1, la L 2 et les rencontres de Coupes d'Europe (pour la période comprise entre juillet et fin décembre 2020) à 125 millions d'euros en termes de billetterie et 67 millions pour les « hospitalités » (accueil des sponsors et partenaires lors des matches).

    « La situation est dramatique. Si on ne touche pas les droits de Mediapro, certains n'iront pas au bout de la saison »

    Un connaisseur de la vie économique des clubs français

     
     
     

    Autant dire que cette défection de Mediapro tombe au plus mal, dans un contexte déjà largement sinistré. Et menace la survie de certains clubs si le groupe sino-espagnol ne remplit pas - ou peu - ses obligations. « La situation est dramatique, estime un très bon connaisseur de la vie économique des clubs. Si on ne touche pas les droits de Mediapro, certains n'iront pas au bout de la saison, Pour la Ligue 2, qui a des recettes télévisées de l'ordre de 5 à 6 millions d'euros, une défaillance du groupe espagnol serait dure à encaisser. Mais ce serait pire en Ligue 1, avec 30 à 35 millions de droits minimum pour les clubs de l'élite. Tout dépendra de la capacité des actionnaires à faire face. Mais sans chercher à dramatiser, il y a une réelle menace d'effondrement. »


    https://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Conflit-mediapro-lfp-une-procedure-de-mediation-negociee/1183335

    https://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Conflit-au-sujet-des-droits-tele-la-lfp-refuse-de-negocier/1183361

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